Katerini Antonakaki a étudié la danse avant de se former à l’École Nationale Supérieure des Arts de la Marionnette à Charleville-Mézières. Elle poursuit sa recherche « marionnettique » d’objets scéniques atypiques au sein du collectif appelé la main d’œuvres qui passe désormais le relais à la compagnie
de l’artiste pEtites perceptiOns. Elle axe ses recherches sur la musicalité de la scénographie dans un théâtre d’espace, d’objets et de mouvements souvent inspiré de l’architecture, de la science et de la philosophie du quotidien.
Production
pEtites perceptiOns
Soutiens
Mars à l’ouest ; Centre départemental de l’Abbaye de Saint-Riquier ; FITZ et TAUT Wagenhalle, Stuttgart ; Internationales Schattenttheater Festival ; Schwäbisch Gmünd ; Le PréO-Oberhausbergen ; Maison Saint-Paul, Saverne ; Espace Saint-André, Abbeville ; Maison de l’Architecture des Hauts-de-France, Maison du Théâtre, Amiens ; Centre Léo Lagrange, Amiens.
Le projet bénéficie de l’aide de l’Institut Français et de la Région Hauts-de-France pour la résidence et la diffusion
à l’international.
La compagnie pEtites perceptiOns bénéficie du soutien de la DRAC Hauts-de-France – ministère de la Culture
au titre de l’aide à la compagnie conventionnée et est subventionnée par la Région Hauts-de-France, le Conseil départemental de la Somme et Amiens Métropole.
Kreisler ou la réception
Un pianiste cherche à mettre en musique les facettes de son âme dans une traversée fantasmagorique où se croisent démons, fantômes et sorcellerie. Les spectateurs plongent dans un poème en trois dimensions sur les traces de quelques pages déchirées d’un journal intime étonnant.
Sur scène un piano, transformé en petite machinerie de théâtre résonne et raconte les péripéties d’un artiste en quête de liberté. Véritable petite forme de musique de chambre insolite, autour du personnage de Kreisler inventé par Hoffmann et sublimé par Schumann, cette pièce résonne comme un vrai hymne à la vie, ludique et profonde à la fois.
Web www.marsalouest.com